La « cour d’amour » qui prenait, la plupart du temps, l’allure d’un jeu, conviendrait assez bien à un symbole de justice amoureuse, de mérites reconnus ou contestés par la dame (la reine, l’héroïne de roman), qui engageait son « prince charmant » ou son amoureux en lui faisant subir toutes les épreuves d’amour, c’est-à-dire celles de l’attente, du silence, de l’engagement, mais aussi de la vertu et de la foi d’un amour déclaré.
